Avec son parcours pédestre, son manège et son aire de jeux, le parc du Vivier accueille des expositions et des manifestations tout au long de l’année. Les jardiniers y interviennent souvent pour le mettre en valeur avec des massifs de fleurs. À l’inverse, ils laissent la nature vivre comme elle veut dans le parc du Luchey. Depuis quelques années, une flore indigène y a repris ses droits, dont certaines espèces sont protégées. Depuis 2012, la Ville a été récompensée par le label national "EcoJardin" qui atteste de cette gestion écologique. Ce label, renouvelé tous les 2 ans, a été reconduit en 2021.

Parcs labellisés à Mérignac

  • Parc de Bourran

Créé vers 1870, par le paysagiste Le Breton, ce parc à l’anglaise est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Parcours botanique, potager pédagogique, rucher, verger de variétés anciennes et potager médiéval sont autant d’aménagements récents qui composent le parc.

Structure du site :

  • Des objectifs paysagers clairs : une gestion horticole aux entrées du parc et près du château et une gestion plus extensive sur le reste du parc

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Site identifié comme un boisement ou EBC à préserver dans la Charte paysagère. L’objectif de cette charte est de pérenniser les réservoirs de biodiversité et de préserver leur qualité écologique afin de favoriser la biodiversité de ces espaces.

Faune et flore

  • Mise en place d’un rucher

  • Nombreux inventaires sur le site : flore, oiseaux, reptiles, amphibiens, mammifères (dont les chiroptères), insectes (odonates et lépidoptères)

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016

  • Régulation des populations d’anatidés en prélevant les œufs. Présence de la Tortue de Floride limitée au bassin. Pas d’utilisation de produits chimique dans la lutte contre les espèces nuisibles ou envahissantes

  • Flore spontanée favorisée en sous-bois

  • L’augmentation de l’utilisation de plantes vivaces qui représentent maintenant 70% des massifs

  • Zonage de la strate herbacée en fonction de la gestion différenciée, fauche tardive des secteurs de prairie

  • Volonté de conserver les arbres le plus longtemps possible (abattage qu’en cas de danger pour le public – suivi régulier par l’équipe d’élagage et expert en interne)

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)

 

  • Parc du Vivier

Acquis par la Ville de Mérignac en 1972, parc de l’Hôtel de ville depuis 1976, ce parc présentant de magnifiques cèdres, est facilement reconnaissable par la présence de ses paons. Parcours pédestre, aire de jeux pour enfants sont destinés aux visiteurs. Il sert également de cadre à de nombreuses manifestations tout au long de l’année.

Structure du site :

  • Des objectifs paysagers clairs : une gestion horticole aux entrées du parc et près de la chartreuse et une gestion plus extensive sur le reste du parc

  • Plan de gestion du patrimoine arboré datant de 2016

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Site identifié comme un boisement ou EBC à préserver dans la Charte paysagère. L’objectif de cette charte est de pérenniser les réservoirs de biodiversité et de préserver leur qualité écologique afin de favoriser la biodiversité de ces espaces.

Faune et flore

  • Nombreux inventaires sur le site : flore, oiseaux, reptiles, amphibiens, mammifères, insectes (odonates et lépidoptères)

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016

  • Arrachage des Gynerium, coupe des Phytolacca

  • Flore spontanée favorisée en sous-bois

  • Utilisation d’essences indigènes pour les plantations prévues dans le plan de gestion du patrimoine arboré

  • L’augmentation de l’utilisation de plantes vivaces qui représentent maintenant 70% des massifs

  • Volonté de conserver les arbres le plus longtemps possible (abattage qu’en cas de danger pour le public – suivi régulier par l’équipe d’élagage et expert en interne)

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)
     

  • Parc du Château

Vestige du domaine du Château du Parc datant de la fin du 18ème siècle, acquis en 1963 par la Ville de Mérignac, ce parc présente un boisement caractéristique de la forêt des Landes de Gascogne avec ses pins gemmés. Les usagers apprécieront les parcours sportifs, les aires de pique-nique ainsi que les sculptures en bois de la clairière de contemplation.

Structure du site :

  • Existence d’un plan de gestion spécifique au site avec une cartographie des unités de gestion

  • Des objectifs paysagers clairs (conservation des pistes cavalières et préservation du sous-bois)

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Site identifié comme un boisement ou un EBC à préserver dans la Charte paysagère. L’objectif de cette charte est de pérenniser les réservoirs de biodiversité et de préserver leur qualité écologique afin de favoriser la biodiversité de ces espaces.

Faune et flore

  • Mise en place de clôture pour préserver le sous-bois (effets visibles sur le site)

  • Nombreux inventaires sur le site : flore, oiseaux, reptiles, amphibiens, mammifères (dont les chiroptères), insectes (odonates et lépidoptères)

  • Présence de plusieurs espèces protégées : Salamandre tachetée, Alyte accoucheur, 7 espèces de chauves-souris, etc

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016 (résultats non transmis lors de l’audit)

  • Lutte contre le Phytolacca paraît efficace (arraché, suivi des rejets)

  • Régénération naturelle du boisement favorisée (pas de plantation prévue)

  • Volonté de conserver les arbres le plus longtemps possible (abattage qu’en cas de danger pour le public – suivi régulier par l’équipe d’élagage et expert en interne)

  • Pas d’utilisation de produit phytosanitaire

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)

  • Equipe qui gère le site a mis en place un compost dans lequel ils utilisent les déchets compostables du public (ce qui implique qu’ils re-trient les déchets déposés dans les poubelles du site)

 

  • Parc de Tenet

Propriété de l’ADPEP 33, ce parc mis à la disposition de la Ville de Mérignac pour ouverture au public en 2009, présente de magnifiques arbres, tels que des séquoias géants et des cyprès chauves. Parcours pédestre, aire de jeux pour enfants, aire de pique-nique et théâtre de verdure sont autant d’aménagements destinés aux visiteurs.
Structure du site :

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Site identifié comme un boisement ou un EBC à préserver dans la Charte paysagère. L’objectif de cette charte est de pérenniser les réservoirs de biodiversité et de préserver leur qualité écologique afin de favoriser la biodiversité de ces espaces.

Faune et flore

  • Nombreux inventaires sur le site : flore, oiseaux, reptiles, amphibiens, mammifères (dont les chiroptères), insectes (odonates et lépidoptères)

  • Présence de plusieurs espèces protégées dont une diversité intéressante de chauves-souris (5 espèces)

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016 (résultats non transmis lors de l’audit)

  • Arrachage systématique des lauriers roses, Progression du bambou contenu par les tontes

  • Régénération naturelle du boisement favorisée (pas de plantation prévue)

  • Volonté de conserver les arbres le plus longtemps possible (abattage qu’en cas de danger pour le public – suivi régulier par l’équipe d’élagage et expert en interne)

  • Pas d’utilisation de produit phytosanitaire

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)
     

  • Parc de Luchey

Le parc comporte plusieurs aménagements : verger de variétés anciennes, massifs de vivaces à cueillir, prairies fleuries, coulée de bulbes, kiosque, aire de pique-nique, jeux pour enfants, agrès, cheminement piéton. Ces dernières années ont vu réapparaître une flore indigène dont des espèces protégées.

Structure du site :

  • Existence d’un plan de gestion spécifique au site avec une cartographie des unités de gestion datant de 2010

  • Site constituant une zone tampon entre l’avenue François Mitterand, très fréquentée et le quartier résidentiel bordé par l’avenue Aristide Briand

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Site identifié comme un boisement ou un EBC à préserver dans la Charte paysagère. L’objectif de cette charte est de pérenniser les réservoirs de biodiversité et de préserver leur qualité écologique afin de favoriser la biodiversité de ces espaces.

Faune et flore

  • Mise en place de rubalise pour délimiter les zones à orchidées et éviter la fauche de ces secteurs

  • Gestion du fossé qui borde le site favorise les populations d’amphibiens

  • Sous-bois préservé grâce à la conservation des ronciers et du fragon (évite les intrusions)

  • Nombreux inventaires sur le site : flore, oiseaux, reptiles, amphibiens, mammifères (dont les chiroptères), insectes (odonates et lépidoptères)

  • Présence de plusieurs espèces protégées : Crapaud calamite, Salamandre tachetée, 4 espèces de chauves-souris

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016 (résultats non transmis lors de l’audit)

  • Régénération naturelle du boisement favorisée (pas de plantation prévue), essences indigènes favorisées pour éliminer petit à petit le Robinier sans procéder à des coupes trop importantes

  • Volonté de conserver les arbres le plus longtemps possible (abattage qu’en cas de danger pour le public – suivi régulier par l’équipe d’élagage et expert en interne)

  • Pas d’utilisation de produit phytosanitaire

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)

 

  • Bois du Burck

Paradis des sportifs, il est équipé de parcours sportif, pédestre, de santé et d’un terrain de bicross. Pour les curieux de nature, une signalétique présente la richesse de sa faune et de sa flore. Les amateurs de culture apprécieront les sculptures en bois du jardin des sons.

Structure du site :

  • Existence d’un plan de gestion spécifique au site avec une cartographie des unités de gestion

  • Des objectifs paysagers clairs (supprimer les cheminements créés par le public dans le boisement, gérer les zones de contact avec les habitations)

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Site identifié comme un boisement ou un EBC à préserver dans la Charte paysagère. L’objectif de cette charte est de pérenniser les réservoirs de biodiversité et de préserver leur qualité écologique afin de favoriser la biodiversité de ces espaces.

Faune et flore

  • Nombreux inventaires sur le site : flore, oiseaux, reptiles, amphibiens, mammifères, insectes (odonates et lépidoptères)

  • Présence de plusieurs espèces protégées : Alyte accoucheur, Couleuvre verte et jaune

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016 (résultats non transmis lors de l’audit)

  • Stratégie de lutte contre les essences invasives mise en œuvre

  • Régénération naturelle du boisement favorisée (pas de plantation au sein du boisement)

  • Volonté de conserver les arbres le plus longtemps possible (abattage qu’en cas de danger pour le public – suivi régulier par l’équipe d’élagage et expert en interne)

  • Pas d’utilisation de produit phytosanitaire

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)

 

  • Parc de Beaudésert - Saint Exupéry

Créé dans les années 1970, ce parc est le vestige d’un domaine important du début du 19ème s. où activités agricoles, activités aéronautiques et bidonvilles se sont succédés. De magnifiques cyprès chauves se trouvent près de la pièce d’eau. Parcours sportif, table de ping-pong et aire de pique-nique sont destinés aux visiteurs.

Structure du site :

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Site identifié comme un boisement ou un EBC à préserver dans la Charte paysagère. L’objectif de cette charte est de pérenniser les réservoirs de biodiversité et de préserver leur qualité écologique afin de favoriser la biodiversité de ces espaces.

Faune et flore

  • Nombreux inventaires sur le site : flore, oiseaux, reptiles, amphibiens, mammifères (dont les chiroptères), insectes (odonates et lépidoptères)

  • Présence de plusieurs espèces protégées : Salamandre tachetée, 7 espèces de chauves-souris, etc.

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016 (résultats non transmis lors de l’audit)

  • Régénération naturelle du boisement favorisée

  • Volonté de conserver les arbres le plus longtemps possible (abattage qu’en cas de danger pour le public – suivi régulier par l’équipe d’élagage et expert en interne)

  • Pas d’utilisation de produit phytosanitaire

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)

 

  • Parc de l'Orée des deux Villes

Autrefois vignoble du Domaine de Bourran, cédé au début des années 1900 pour l’aménagement du quartier de Bourranville, ce parc situé à la limite entre Bordeaux et Mérignac a été créé en 2011. Trois sculptures aux trois entrées, une aire de jeux pour enfants, un théâtre de verdure, une aire de pique-nique, des jardinières de plantes aromatiques à cueillir et un verger sont autant d’aménagements à la disposition des visiteurs.
Structure du site :

  • Pas de désherbage chimique sur le site

  • Le parc de l’Orée des deux villes est classé en EBC au PLUI

  • En 2016, semis d’une prairie fleurie dans la continuité du Parc de l’Orée des deux villes par l’office HLM qui gère les espaces publics au-delà du parc.

Faune et flore

  • Nombreux inventaires de la faune sur le site : reptiles, amphibiens, mammifères, insectes (odonates et lépidoptères)

  • Mesures de gestion recommandées par les associations naturalistes ayant réalisé les inventaires

  • Mise en place du protocole PROPAGE par les agents volontaires depuis 2016 (résultats non transmis lors de l’audit)

  • Développement d’une végétation spontanée au pied des arbres et dans les bacs anciennement plantés de plantes à fleurs

  • Respect du port libre des arbres, taille raisonnée des arbres et des arbustes dans les massifs effectuée en hiver

  • Installation d’un verger

  • Pas d’utilisation de produit phytosanitaire

  • Diminution du volume des déchets verts de 10% entre 2011 et 2015 sur l’ensemble des espaces gérés (pas de ramassage des feuilles, broyage des rémanents utilisés comme paillage, mulching des tontes, etc.)