04/09/2025

Bienvenue à LA Cuisine Bordeaux-Mérignac

Le SIVU (Syndicat Intercommunal à Vocation Unique pour la restauration collective) prend le nom de « LA Cuisine Bordeaux-Mérignac » afin d’afficher clairement sa mission et son ambition culinaire en faveur de repas dits « faits maison ».
 

23 500 repas par jour à Mérignac et Bordeaux

 

Plus de bien-être au travail 

LA cuisine centrale et la Ville de Mérignac anticipent depuis plusieurs mois la fin du plastique et l’installation de nouveaux équipements. 
Après un audit réalisé par des ergonomes, le réaménagement de la cuisine et des offices scolaires et seniors a aussi permis de travailler sur la réduction des troubles musculosquelettiques avec l’achat de fours à glissière, de chariots de maintien en température et en faisant de la prévention sur ces éventuels troubles.

Une cuisine centrale plus grande ?

17 000 repas à l’ouverture en 2004, plus de 23 000 aujourd’hui et probablement plus encore dans les années qui viennent. Compte tenu des perspectives démographiques, la cuisine centrale a besoin de plus de place et pourrait bientôt déménager. Des études préalables sont aujourd’hui engagées pour l’achat d’un terrain à Beutre. À suivre.

Une performance écologique bien au-dessus des obligations légales

En mai 2025 : 

  • 70 % de produits issus de l’agriculture biologique
  • 73 % de produits sous labels de qualité et d’origine
  • 57 % de produits locaux
  • 14 % de produits issus du commerce équitable

Objectif 2025 : zéro plastique 

À la rentrée des vacances d’automne, les emballages en cellulose recouverts de films plastiques seront progressivement remplacés par des bacs inox réemployables. À la clé, un gain sanitaire et environnemental mais aussi la possibilité de nouvelles recettes comme les gratins ou du poulet croustillant difficiles à faire aujourd’hui avec une cuisson sous vide.

Objectifs atteints !

« Nous avons atteint les objectifs inscrits à notre feuille de route avec, d’une part la sortie progressive d’une cuisson sous vide sous poche plastique au profit d’une cuisson plus traditionnelle, en marmite et au four avec des bacs inox pour améliorer la qualité organoleptique des aliments tout en luttant contre les perturbateurs endocriniens liés au plastique. D’autre part, une hausse sans précédent de produits bios, locaux ou issus du commerce équitable. »

Serge Belperron
Conseiller municipal délégué à l’alimentation durable et à l’agriculture urbaine et vice-président de LA Cuisine Bordeaux-Mérignac